Le phénomène " de l'impression dégueu"

Publié le par anonyme

C'est fini. Fini, fini,fini. Au fond, c'est con parce que rien n'avait commencé. Ouais, c'est fini avant d'avoir commencé. Voila comment ça s'est passé: je reevnais d'une bonne gastrot (eh oui, les mois d'automne ne sont pas toujours festifs), et... et j'allais en SVT. Normalement, j'aurai dû être contente. Pire: heureuse. J'aurai sauter de joie, taper des pieds, hurler mon amour au vent. Mais non. Je ne ressentais rien de particulier. Alors que, pourtant, j'étais placée juste à côté de lui. Mon coude pouvait frôler le sien. Mes yeux pouvaient croiser les siens. Mon sourire se joindre au sien. Une fois installée, je l'observe. Bizarre. Il a changé. Il n'y a plus cette étincelle dans ses yeux, ni ce sourire si craquant. Il n'y a plus qu'un mec banal. Au  bout d'un certain moment, je finis tout de même par me rendre compte que ce n'est aps lui aui a changé mais moi. Ou, plus exacteemnt, le regard que je porte sur lui. Je ne l'aime plus. Je ne suis même pas triste, même aps déçue. En fait, je suis soulagée. Plus de rougissements. Plus de bafouillments. Plus rien. Juste la liberté. Suis-je condamnée à vivre toute seule avec mes livres? Pourtant, je ne suis aps moche, loin de là.nVu le succès que j'ai auprès des garçons.

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